miércoles, 31 de marzo de 2010

APÉNDICES

APÉNDICE 1
Versión 0
Egberto de Lieja 1022-1024
Jan M. Ziolkowski, “A Fairy Tale from before Fairy Tales: Egbert of Liège’s ‘De
puella a lupellis seruata’ and the Medieval backround of ‘Little Red Riding Hood’”. Revista
Speculum, Vol. 67, No.3, Julio de 1992.
De puella a lupellis seruata
Quod refero, mecum pagenses dicere norunt,
Et non tam mirum quam ualde est credere uerum:
Quidam suscepit sacro de fonte puellam,
Cui dedit et tunicam rubicundo uellere textam;
Quinquagesima sancta fuit babtismatis huius.
Sole sub exorto quinquennis facta puella
Progeditur, uagabunda sui inmemor atque pericli,
Quam lupus inuadens siluestria lustra petiuit
Et catulis predam tulit atque reliquit edendam.
Qui simul aggressi, cum iam lacerare nequirent,
Ceperunt mulcere caput feritate remota.
"Hanc tunicam, mures, nolite", infantula dixit,
"Scindere, quam dedit excipiens de fonte patrinus!"
Mitigat inmites animos deus, auctor eorum.
About a Girl Saved from Wolf Cubs
What I have to relate, countryfolk can tell along with me,
and it is not so much marvelous as is quite true to believe.
A certain man took up a girl from the sacred font,
and gave her a tunic woven of red wool;
sacred Pentecost was [the day] of her baptism.
The girl, now five years old, goes out
at sunrise, tootloose and heedless of her peril.
A wolf attacked her, went to its woodland lair,
took her as booty to its cubs, and left her to be eaten.
They approached her at once and since they were unable to harm her,
began, free from all their ferocity, to caress her head.
"Do not damage this tunic, mice," the lipsing little girl said,
"which my godfather gave me when he took me front the font!"
God, their creator, soothes untame souls.
[Trad. al inglés de Ziolkowski]
Sobre una niña salvada de los lobeznos
Lo que relato, los campesinos pueden decirlo igual que yo
y no es tan maravilloso como cierto de creer.
Un hombre tomó a una niña de la pila sagrada,
y le dio una túnica tejida de lana roja;
la fiesta sagrada de Pentecostés fue el día de su bautizo.
La niña, ahora de cinco años, sale
al amanecer, sin rumbo e inocente del peligro.
Un lobo la atacó, fue a su madriguera en el bosque
llevándola como botín para sus cachorros, y la dejó para ser devorada.
Ellos se le acercaron, y no pudiendo ser capaces de herirla,
Comenzaron, libres de su ferocidad, a acariciar su cabeza.
“No rompan esta túnica, ratones”, dijo la niñita,
“que me la dio mi padrino al sacarme de la pila”.
Dios ablanda las almas feroces.
[Trad. del inglés de Nayar Rivera]
Versión 1
Manuscrito, 1695
Contes de ma Mère L’Oye. Reproducción en facsímil con introducción y análisis crítico de Jacques
Barchilon, Nueva York, Pierpont Morgan Library, 1956.
La numeración original está señalada entre corchetes.
Le petit chaperon rouge
Conte
Il estoit une fois une petite fille de village la plus jolie qu’on eut scu voir : sa mere en estoit folle et
sa mere grand plus folle encore. Cette bonne femme luy fit faire un petit chaperon rouge [54] qui
luy sceoit si bien que par tout on l’appeloit le petit chaperon rouge.
Un jour sa mere ayant cuy et fait des galetes, luy dit va veoir comment se porte ta mere grand, car
on m’a dit qu’elle estoit malade porte luy une galete et ce petit pot de beurre. Le petit chaperon
rouge partit aussi-tost pour aller chez sa mere grand qui demeuroit dans un autre village en passant
dans un bois elle rencontra compere le Loup qui eut bien enuie de la [55] manger, mais il n’osa a
cause de quelques boucherons qui estoient dans la forest. Il lui demanda ou elle alloit, la pauure
Enfant qui ne sçauoit pas encore qu’il n’est pas bon de s’arrester a escouter un Loup, luy dit je vais
voir ma mere grand et luy porter une galete, auec un petit pot de beurre que ma mere luy enuoye.
Demeure t’elle bien loin d’icy luy dit le Loup. O ! ouy luy dit le petit chaperon rouge, c’est par dela
le moulin que vous voyez [56] tout lâ bas, la bas a la premiere maison du village. Et bien, luy dit le
Loup, i’y veut aller aussi, Je m’y enuais par ce chemin cy et toy par ce chemin la, nous voirons qui
plûtost y sera. Le Loup se mit a courir de toute sa force par le chemin le plus court, et la petite fille
alla par le chemin le plus long s’amusant a ceullir des noisettes, a courir apres les papillons et a faire
des bouquets de petites fleurs qu’elle rencontroit. Le loup ne fut pas longtemps a arriuer a la
maison de la mere [57] grand. Il heurta a sa porte, toc toc qui est lâ? c’est votre fille le petit chaperon
rouge dit le Loup en contrefaisant sa voix qui vous apporte une galete et un petit pot de beurre que
ma mere vous enuoye. La bonne mere grand qui estoit dans son lit parcequ’elle se trouuoit un peut
mal luy cria, tire la cheuillette la bobinette cherra, le Loup tira la cheuillette et la porte s’ouurit, il se
ietta aussi-tost sur la bonne femme et la deuora en moins de rien, car il y auoit trois jours qu’il
n’auoit mangé [58] Ensuite il ferma la porte et salla coucher dans le lit de la mere grand, en
attendant le petit chaperon rouge qui un moment apres vint heurter a la porter toc toc qui est lâ ? Le
petit chaperon rouge qui entendit la grosse voix du Loup eut peur d’abord, mais croyant que sa
mere grand estoit enrumeé, repondit, c’est vôtre fille le petit chaperon rouge qui vous apporte une
galette et un petit pot de beurre que ma mere vous enuoye. Le loup luy cria en adoucissant un [59]
peu sa voix, tire la bobinette, la cheuillete chera le petit chaperon rouge tira la cheuillette la porte de
la maison s’ouurit. Le Loup la voyant entrer luy dit de dedans le lit ou se cachait sous la couuerture
mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche et viens te coucher auec moy, Le petit chaperon
rouge se deshabille et s’alla mettre dans le lit, ou elle fut bien étonneé de voir comment sa mere
grand estoit fait en son deshabillé; Elle [60] luy dit ma mere grand que vous auez de grands bras?
c’est pour mieux t’embrasser mon enfant luy dit le Loup. Ma mere grand que vous auez de grndes
jambes? c’est pour mieux courir mon enfant. Ma mere grand que vous auez de grandes oreilles.
c’est pour mieux entendre mon enfant. Ma mere grand que vous auez de grands yeux? c’est pour
mieux voir mon enfant. Ma mere grand que vous auez de grands dents? c’est pour te manger. [Nota
al margen: on prononce ces mots d’une voix forte pour faire peur a l’enfant comme si le Loup
l’allait manger.] En disant ces [61] mots le méchant loup mangea le pauure petit chaperon rouge.
Moralite
Dans ce conte on peut voir qu’a de jeunes enfans
Et sur tout a de jeunes filles
Belles, bienfaites et gentilles
Il prend mal d’ecouter toute sorte de gens
Et que ce n’est pas chose étrange
S’il en est tant que le Loup mange.
Versión 2
Perrault, 1697
Perrault, Contes, edición de Jean-Pierre Collinet, Gallimard, Collection folio classique, 1981.
(1) Le Petit Chaperon rouge
(2)Il était une fois (3)une petite fille de Village, (4)la plus jolie qu’on eût su voir ; (5)sa mère en était
folle, et sa mère- grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge,
qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit chaperon rouge.
(6)Un jour sa mère, ayant cuit et fait de galettes, lui dit : « Va voir comme se porte ta mère-grand,
car on m’a dit qu’elle était malade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. » (7)Le Petit
chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre Village.
En passant dans un bois elle rencontra compère le Loup, qui eût bien envie de la manger ; mais il
n’osa à cause de quelques Bûcherons qui étaient dans la Fôret. (8)Il lui demanda où elle allait ; la
pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il est dangereux de s’arrêter a écouter un Loup, (9)lui dit : « Je
vais voir ma Mère-grand, et lui porter une galette que ma Mère lui envoie. (10)–Demeure-t-elle bien
loin ? lui dit le Loup. –Oh ! oui, dit le Petit chaperon rouge, c’est par delà le moulin que vous voyez
là-bas, là-bas, à la première maison du Village. –Hé bien, dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je
m’y en vais par ce chemin ici et toi par ce chemin-là et nous verrons qui plus tôt y sera. » (11)Le
Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla
par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir de noisettes, à courir après des papillons, et à faire
des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la
maison de la Mère-grand ; il heurte : Toc-toc. « Qui est là ? —C’est votre fille, le petit chaperon
rouge (dit le Loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre
que ma mère vous envoie. » (12)La bonne Mère-grand, qui était dans son lit à cause qu’elle se
trouvait un peul mal, (13)lui cria : « Tire la chevillette, la bobinette cherra. » Le Loup tira le
chevillette et la porte s’ouvrit. (14)Il se jeta sur la bonne femme et la dévora en moins de rien ; car il
y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit
de la Mère-grand, en attendant le petit chaperon rouge qui quelque temps après vint heurter à la
porte. Toc-toc. « Qui est là ? » Le petit chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut
peur d’abord, mais croyant que sa Mère-grand était enrhumée, répondit : « C’est votre fille le petit
chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie. »
Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : « Tire la chevillette, la bobinette cherra. » (15)Le
petit chaperon rouge tira la chevillette et la porte s’ouvrit. Le loup, la voyant entrer, lui dit en se
cachant dans le lit sous la couverture : « Mets la galette et le petit pot de verre sur la huche, et viens
te coucher avec moi. » Le petit chaperon rouge se déshabille et va se mettre dans le lit, où elle fut
bien étonnée de voir comment sa Mère-grand était faite en son désabillé. Elle lui dit : (16)« Ma
mère-grand, que vous avez de grands bras ! –C’est pour mieux t’embrasser, ma fille. –Ma mèregrand,
que vous avez de grandes jambes ! –C’est pour mieux courir mon enfant. —Ma mère-grand,
que vous avez de grandes oreilles ! -C’est pour mieux écouter, mon enfant. –Ma mère-grand, que
vous avez de grands yeux ! –C’est pour mieux voir, mon enfant ! –Ma mère-grand, que vous avez
de grandes dents ! –C’est pour te manger. »
(17) —Et en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le petit chaperon rouge et la mangea.
MORALITÉ
On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites et gentilles,
(18)Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange
S’il en est tant que le loup mange.
Je dis le loup, car tous les loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
(19)Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
(20)Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.
(1)Caperucita roja
(2)Había una vez (3)una niñita en un Pueblo, (4)la más bonita que jamás se hubiera visto; (5)su
madre estaba enloquecida con ella y su abuela mucho más todavía. Esta buena mujer le había
mandado hacer una caperucita roja y le sentaba tan bien que todos la llamaban Caperucita roja.
(6)Un día su madre, que había cocido pan en el horno del pueblo y había hecho pastelillos, le dijo:
“Anda a ver cómo está tu abuela, pues me dicen que ha estado enferma; llévale un pastelillo y este
tarrito de mantequilla”. (7)Caperucita roja partió en seguida a ver a su abuela que vivía en otro
pueblo. Al pasar por un bosque, se encontró con el compadre Lobo, que tuvo muchas ganas de
comérsela, pero no se atrevió porque unos leñadores andaban en el Bosque. (8)Él le preguntó a
dónde iba. La pobre niña, que no sabía que era peligroso detenerse a hablar con un Lobo, (9)le dijo:
“Voy a ver a mi Abuela, y le llevo un pastelillo y un tarrito de mantequilla que mi madre le envía”.
—(10)“¿Vive muy lejos?”, le dijo el lobo. —“¡Oh, sí!”, dijo Caperucita roja, “más allá del molino que
se ve allá lejos, en la primera casa del pueblo”. “Pues bien”, dijo el lobo, “yo también quiero ir a
verla; yo iré por este camino, y tú por aquél, y veremos quién llega primero”. (11)El lobo se echo a
correr a toda velocidad por el camino que era más corto y la niña se fue por el más largo,
entreteniéndose en coger avellanas, en correr tras las mariposas y en hacer ramos con las florecillas
que encontraba. Poco tardó el lobo en llegar a casa de la Abuela; toca a la puerta: toc, toc. “¿—Quién
es? —Es su nieta, Caperucita roja”, dijo el lobo, disfrazando la voz, “le traigo un pastelillo y un
tarrito de mantequilla que mi madre le envía”. (12)La abuela, que estaba en cama porque no se
sentía bien, (13)le gritó: ”Tira la aldaba y el pestillo cederá”. El lobo tiró la aldaba, y la puerta se
abrió. (14)Se abalanzó sobre la buena mujer y la devoró en un santiamén, pues hacía más de tres
días que no comía. En seguida cerró la puerta y fue a acostarse en el lecho de la abuela, esperando a
Caperucita roja quien, un rato después, llegó a tocar a la puerta: toc, toc. “¿Quién es?” Caperucita
roja, al oír la ronca voz del lobo, primero se asustó, pero creyendo que su abuela estaba resfriada,
contestó: “Es su nieta, Caperucita roja, le traigo un pastelillo y un tarrito de mantequilla que mi
madre le envía”. El lobo le gritó, suavizando un poco la voz: “Tira la aldaba y el cerrojo cederá”.
(15)Caperucita roja tiró la aldaba y la puerta se abrió. Viéndola entrar, el lobo le dijo, mientras se
escondía en la cama bajo la frazada: “Deja la torta y el tarrito de mantequilla en la repisa y ven a
acostarte conmigo”. Caperucita roja se desviste y se mete a la cama donde se queda muy
asombrada al ver cómo se ve su abuela en camisón. Ella le dijo: (16) “—Abuela, ¡qué brazos tan
grandes tienes! —Es para abrazarte mejor, hija mía. —Abuela, ¡qué piernas tan grandes tienes! —Es
para correr mejor, hija mía. —Abuela, ¡qué orejas tan grandes tienes! —Es para oír mejor, hija mía.
—Abuela, ¡que ojos tan grandes tienes! —Es para ver mejor, hija mía. —Abuela, ¡qué dientes tan
grandes tienes! —¡Para comerte!” (17)Y diciendo estas palabras, ese Lobo malvado se abalanzó
sobre Caperucita roja y se la comió.
MORALEJA
Vemos aquí que los infantes,
Sobre todo las jovencitas
Bien formadas, gentiles y bonitas,
Hacen muy mal en oír a tunantes,
Pues así no es de extrañar
Si en la panza de un lobo van a parar.
Digo un lobo, pues no todos
Son de la misma calaña:
Algunos se dan la maña
Con ser suaves y corteses
Domados y complacientes,
De seguir a las doncellas
Hasta sus mismas cabeceras
Pero ¡ay de quién no sabe que estos dulces lobos
De todos los lobos son los más peligrosos!
[Tr. de Nayar Rivera]
Versión 3
Rotkäppchen
Ein Märchen der Gebrüder Grimm - KHM 026
Clasificación (Aarne-Thompson):
AT 0333 - Red Riding Hood
Consultado el 12 de noviembre de 2009 en:
http://www.grimmstories.com/de/grimm_maerchen/rotkaeppchen
Es war einmal ein kleines süßes Mädchen, das hatte jedermann lieb, der sie nur ansah, am
allerliebsten aber ihre Großmutter, die wußte gar nicht, was sie alles dem Kinde geben sollte.
Einmal schenkte sie ihm ein Käppchen von rotem Samt, und weil ihm das so wohl stand, und es
nichts anders mehr tragen wollte, hieß es nur das Rotkäppchen. Eines Tages sprach seine Mutter zu
ihm: “Komm, Rotkäppchen, da hast du ein Stück Kuchen und eine Flasche Wein, bring das der
Großmutter hinaus; sie ist krank und schwach und wird sich daran laben. Mach dich auf, bevor es
heiß wird, und wenn du hinauskommst, so geh hübsch sittsam und lauf nicht vom Wege ab, sonst
fällst du und zerbrichst das Glas, und die Großmutter hat nichts. Und wenn du in ihre Stube
kommst, so vergiß nicht guten Morgen zu sagen und guck nicht erst in allen Ecken herum!”
“Ich will schon alles richtig machen,” sagte Rotkäppchen zur Mutter, und gab ihr die Hand darauf.
Die Großmutter aber wohnte draußen im Wald, eine halbe Stunde vom Dorf. Wie nun
Rotkäppchen in den Wald kam, begegnete ihm der Wolf. Rotkäppchen aber wußte nicht, was das
für ein böses Tier war, und fürchtete sich nicht vor ihm. “Guten Tag, Rotkäppchen!” sprach er.
“Schönen Dank, Wolf!” - “Wo hinaus so früh, Rotkäppchen?” - “Zur Großmutter.” - “Was trägst du
unter der Schürze?” - “Kuchen und Wein. Gestern haben wir gebacken, da soll sich die kranke und
schwache Großmutter etwas zugut tun und sich damit stärken.” - “Rotkäppchen, wo wohnt deine
Großmutter?” - “Noch eine gute Viertelstunde weiter im Wald, unter den drei großen Eichbäumen,
da steht ihr Haus, unten sind die Nußhecken, das wirst du ja wissen,” sagte Rotkäppchen. Der Wolf
dachte bei sich: Das junge, zarte Ding, das ist ein fetter Bissen, der wird noch besser schmecken als
die Alte. Du mußt es listig anfangen, damit du beide schnappst. Da ging er ein Weilchen neben
Rotkäppchen her, dann sprach er: “Rotkäppchen, sieh einmal die schönen Blumen, die ringsumher
stehen. Warum guckst du dich nicht um? Ich glaube, du hörst gar nicht, wie die Vöglein so lieblich
singen? Du gehst ja für dich hin, als wenn du zur Schule gingst, und ist so lustig haußen in dem
Wald.”
Rotkäppchen schlug die Augen auf, und als es sah, wie die Sonnenstrahlen durch die Bäume hin
und her tanzten und alles voll schöner Blumen stand, dachte es: Wenn ich der Großmutter einen
frischen Strauß mitbringe, der wird ihr auch Freude machen; es ist so früh am Tag, daß ich doch zu
rechter Zeit ankomme, lief vom Wege ab in den Wald hinein und suchte Blumen. Und wenn es eine
gebrochen hatte, meinte es, weiter hinaus stände eine schönere, und lief danach und geriet immer
tiefer in den Wald hinein. Der Wolf aber ging geradewegs nach dem Haus der Großmutter und
klopfte an die Türe. “Wer ist draußen?” - “Rotkäppchen, das bringt Kuchen und Wein, mach auf!” -
“Drück nur auf die Klinke!” rief die Großmutter, “ich bin zu schwach und kann nicht aufstehen.”
Der Wolf drückte auf die Klinke, die Türe sprang auf und er ging, ohne ein Wort zu sprechen,
gerade zum Bett der Großmutter und verschluckte sie. Dann tat er ihre Kleider an, setzte ihre
Haube auf, legte sich in ihr Bett und zog die Vorhänge vor
Rotkäppchen aber, war nach den Blumen herumgelaufen, und als es so viel zusammen hatte, daß es
keine mehr tragen konnte, fiel ihm die Großmutter wieder ein, und es machte sich auf den Weg zu
ihr. Es wunderte sich, daß die Tür aufstand, und wie es in die Stube trat, so kam es ihm so seltsam
darin vor, daß es dachte: Ei, du mein Gott, wie ängstlich wird mir's heute zumut, und bin sonst so
gerne bei der Großmutter! Es rief: “Guten Morgen,” bekam aber keine Antwort. Darauf ging es
zum Bett und zog die Vorhänge zurück. Da lag die Großmutter und hatte die Haube tief ins Gesicht
gesetzt und sah so wunderlich aus. “Ei, Großmutter, was hast du für große Ohren!” - “Daß ich dich
besser hören kann!” - “Ei, Großmutter, was hast du für große Augen!” - “Daß ich dich besser sehen
kann!” - “Ei, Großmutter, was hast du für große Hände!” - “Daß ich dich besser packen kann!” -
“Aber, Großmutter, was hast du für ein entsetzlich großes Maul!” - “Daß ich dich besser fressen
kann!” Kaum hatte der Wolf das gesagt, so tat er einen Satz aus dem Bette und verschlang das arme
Rotkäppchen.
Wie der Wolf seinen Appetit gestillt hatte, legte er sich wieder ins Bett, schlief ein und fing an,
überlaut zu schnarchen. Der Jäger ging eben an dem Haus vorbei und dachte: Wie die alte Frau
schnarcht! Du mußt doch sehen, ob ihr etwas fehlt. Da trat er in die Stube, und wie er vor das Bette
kam, so sah er, daß der Wolf darinlag. “Finde ich dich hier, du alter Sünder,” sagte er, “ich habe
dich lange gesucht.” Nun wollte er seine Büchse anlegen, da fiel ihm ein, der Wolf könnte die
Großmutter gefressen haben und sie wäre noch zu retten, schoß nicht, sondern nahm eine Schere
und fing an, dem schlafenden Wolf den Bauch aufzuschneiden. Wie er ein paar Schnitte getan
hatte, da sah er das rote Käppchen leuchten, und noch ein paar Schnitte, da sprang das Mädchen
heraus und rief: “Ach, wie war ich erschrocken, wie war's so dunkel in dem Wolf seinem Leib!”
Und dann kam die alte Großmutter auch noch lebendig heraus und konnte kaum atmen.
Rotkäppchen aber holte geschwind große Steine, damit füllten sie dem Wolf den Leib, und wie er
aufwachte, wollte er fortspringen, aber die Steine waren so schwer, daß er gleich niedersank und
sich totfiel.
Da waren alle drei vergnügt. Der Jäger zog dem Wolf den Pelz ab und ging damit heim, die
Großmutter aß den Kuchen und trank den Wein, den Rotkäppchen gebracht hatte, und erholte sich
wieder; Rotkäppchen aber dachte: Du willst dein Lebtag nicht wieder allein vom Wege ab in den
Wald laufen, wenn dir's die Mutter verboten hat.
Es wird auch erzählt, daß einmal, als Rotkäppchen der alten Großmutter wieder Gebackenes
brachte, ein anderer Wolf es angesprochen und vom Wege habe ableiten wollen. Rotkäppchen aber
hütete sich und ging geradefort seines Wegs und sagte der Großmutter, daß es dem Wolf begegnet
wäre, der ihm guten Tag gewünscht, aber so bös aus den Augen geguckt hätte: “Wenn's nicht auf
offener Straße gewesen wäre, er hätte mich gefressen.” - “Komm,” sagte die Großmutter, “wir
wollen die Türe verschließen, daß er nicht hereinkann.” Bald danach klopfte der Wolf an und rief:
“Mach auf, Großmutter, ich bin das Rotkäppchen, ich bring dir Gebackenes.” Sie schwiegen aber
und machten die Türe nicht auf. Da schlich der Graukopf etlichemal um das Haus, sprang endlich
aufs Dach und wollte warten, bis Rotkäppchen abends nach Hause ginge, dann wollte er ihm
nachschleichen und wollt's in der Dunkelheit fressen. Aber die Großmutter merkte, was er im Sinne
hatte. Nun stand vor dem Haus ein großer Steintrog, Da sprach sie zu dem Kind: “Nimm den
Eimer, Rotkäppchen, gestern hab ich Würste gekocht, da trag das Wasser, worin sie gekocht sind,
in den Trog!” Rotkäppchen trug so lange, bis der große, große Trog ganz voll war. Da stieg der
Geruch von den Würsten dem Wolf in die Nase. Er schnupperte und guckte hinab, endlich machte
er den Hals so lang, daß er sich nicht mehr halten konnte, und anfing zu rutschen; so rutschte er
vom Dach herab, gerade in den großen Trog hinein und ertrank. Rotkäppchen aber ging fröhlich
nach Haus, und von nun an tat ihm niemand mehr etwas zuleide.
ENDE
Caperucita Roja
Los hermanos Grimm - KHM 026
Clasificación (Aarne-Thompson):
AT 0333 - Red Riding Hood
Consultado el 12 de noviembre de 2009 en:
http://www.grimmstories.com/es/grimm_cuentos/caperucita_roja
Había una vez una adorable niña que era querida por todo aquél que la conociera, pero sobre todo
por su abuelita, y no quedaba nada que no le hubiera dado a la niña. Una vez le regaló una pequeña
caperuza o gorrito de un color rojo, que le quedaba tan bien que ella nunca quería usar otra cosa, así
que la empezaron a llamar Caperucita Roja. Un día su madre le dijo: “Ven, Caperucita Roja, aquí
tengo un pastel y una botella de vino, llévaselas en esta canasta a tu abuelita que esta enfermita y
débil y esto le ayudará. Vete ahora temprano, antes de que caliente el día, y en el camino, camina
tranquila y con cuidado, no te apartes de la ruta, no vayas a caerte y se quiebre la botella y no
quede nada para tu abuelita. Y cuando entres a su dormitorio no olvides decirle, “Buenos días”, ah,
y no andes curioseando por todo el aposento.”
“No te preocupes, haré bien todo”, dijo Caperucita Roja, y tomó las cosas y se despidió
cariñosamente. La abuelita vivía en el bosque, como a un kilómetro de su casa. Y no más había
entrado Caperucita Roja en el bosque, siempre dentro del sendero, cuando se encontró con un lobo.
Caperucita Roja no sabía que esa criatura pudiera hacer algún daño, y no tuvo ningún temor hacia
él. “Buenos días, Caperucita Roja,” dijo el lobo. “Buenos días, amable lobo.” — “¿Adonde vas tan
temprano, Caperucita Roja?” — “A casa de mi abuelita.” — “¿Y qué llevas en esa canasta?” —
“Pastel y vino. Ayer fue día de hornear, así que mi pobre abuelita enferma va a tener algo bueno
para fortalecerse.” — “¿Y adonde vive tu abuelita, Caperucita Roja?” — “Como a medio kilómetro
más adentro en el bosque. Su casa está bajo tres grandes robles, al lado de unos avellanos.
Seguramente ya los habrás visto,” contestó inocentemente Caperucita Roja. El lobo se dijo en
silencio a sí mismo: “¡Qué criatura tan tierna! qué buen bocadito — y será más sabroso que esa
viejita. Así que debo actuar con delicadeza para obtener a ambas fácilmente.” Entonces acompañó a
Caperucita Roja un pequeño tramo del camino y luego le dijo: “Mira Caperucita Roja, que lindas
flores se ven por allá, ¿por qué no vas y recoges algunas? Y yo creo también que no te has dado
cuenta de lo dulce que cantan los pajaritos. Es que vas tan apurada en el camino como si fueras para
la escuela, mientras que todo el bosque está lleno de maravillas.”
Caperucita Roja levantó sus ojos, y cuando vio los rayos del sol danzando aquí y allá entre los
árboles, y vio las bellas flores y el canto de los pájaros, pensó: “Supongo que podría llevarle unas de
estas flores frescas a mi abuelita y que le encantarán. Además, aún es muy temprano y no habrá
problema si me atraso un poquito, siempre llegaré a buena hora.” Y así, ella se salió del camino y se
fue a cortar flores. Y cuando cortaba una, veía otra más bonita, y otra y otra, y sin darse cuenta se
fue adentrando en el bosque. Mientras tanto el lobo aprovechó el tiempo y corrió directo a la casa
de la abuelita y tocó a la puerta. “¿Quién es?” preguntó la abuelita. “Caperucita Roja,” contestó el
lobo. “Traigo pastel y vino. Ábreme, por favor.” — “Mueve la cerradura y abre tú,” gritó la
abuelita, “estoy muy débil y no me puedo levantar.” El lobo movió la cerradura, abrió la puerta, y
sin decir una palabra más, se fue directo a la cama de la abuelita y de un bocado se la tragó. Y
enseguida se puso ropa de ella, se colocó un gorro, se metió en la cama y cerró las cortinas.
Mientras tanto, Caperucita Roja se había quedado colectando [sic] flores, y cuando vio que tenía
tantas que ya no podía llevar más, se acordó de su abuelita y se puso en camino hacia ella. Cuando
llegó, se sorprendió al encontrar la puerta abierta, y al entrar a la casa, sintió tan extraño
presentimiento que se dijo para sí misma: “¡Oh Dios! que incómoda me siento hoy, y otras veces
que me ha gustado tanto estar con abuelita.” Entonces gritó: “¡Buenos días!”, pero no hubo
respuesta, así que fue al dormitorio y abrió las cortinas. Allí parecía estar la abuelita con su gorro
cubriéndole toda la cara, y con una apariencia muy extraña. “¡!Oh, abuelita!” dijo, “qué orejas tan
grandes que tienes.” — “Es para oírte mejor, mi niña,” fue la respuesta. “Pero abuelita, qué ojos tan
grandes que tienes.” — “Son para verte mejor, querida.” — “Pero abuelita, qué brazos tan grandes
que tienes.” — “Para abrazarte mejor.” — “Y qué boca tan grande que tienes.” — “Para comerte
mejor.” Y no había terminado de decir lo anterior, cuando de un salto salió de la cama y se tragó
también a Caperucita Roja.
Entonces el lobo decidió hacer una siesta y se volvió a tirar en la cama, y una vez dormido empezó
a roncar fuertemente. Un cazador que por casualidad pasaba en ese momento por allí, escuchó los
fuertes ronquidos y pensó, ¡Cómo ronca esa viejita! Voy a ver si necesita alguna ayuda. Entonces
ingresó al dormitorio, y cuando se acercó a la cama vio al lobo tirado allí. “¡Así que te encuentro
aquí, viejo pecador!” dijo él.”¡Hacía tiempo que te buscaba!” Y ya se disponía a disparar su arma
contra él, cuando pensó que el lobo podría haber devorado a la viejita y que aún podría ser salvada,
por lo que decidió no disparar. En su lugar tomó unas tijeras y empezó a cortar el vientre del lobo
durmiente. En cuanto había hecho dos cortes, vio brillar una gorrita roja, entonces hizo dos cortes
más y la pequeña Caperucita Roja salió rapidísimo, gritando: “¡Qué asustada que estuve, qué
oscuro que está ahí dentro del lobo!”, y enseguida salió también la abuelita, vivita, pero que casi no
podía respirar. Rápidamente, Caperucita Roja trajo muchas piedras con las que llenaron el vientre
del lobo. Y cuando el lobo despertó, quizo correr e irse lejos, pero las piedras estaban tan pesadas
que no soportó el esfuerzo y cayó muerto.
Las tres personas se sintieron felices. El cazador le quitó la piel al lobo y se la llevó a su casa. La
abuelita comió el pastel y bebió el vino que le trajo Caperucita Roja y se reanimó. Pero Caperucita
Roja solamente pensó: “Mientras viva, nunca me retiraré del sendero para internarme en el bosque,
cosa que mi madre me había ya prohibido hacer.”
También se dice que otra vez que Caperucita Roja llevaba pasteles a la abuelita, otro lobo le habló, y
trató de hacer que se saliera del sendero. Sin embargo Caperucita Roja ya estaba a la defensiva, y
siguió directo en su camino. Al llegar, le contó a su abuelita que se había encontrado con otro lobo y
que la había saludado con “buenos días”, pero con una mirada tan sospechosa, que si no hubiera
sido porque ella estaba en la vía pública, de seguro que se la hubiera tragado. “Bueno,” dijo la
abuelita, “cerraremos bien la puerta, de modo que no pueda ingresar.” Luego, al cabo de un rato,
llegó el lobo y tocó a la puerta y gritó: “¡Abre abuelita que soy Caperucita Roja y te traigo unos
pasteles!” Pero ellas callaron y no abrieron la puerta, así que aquel hocicón se puso a dar vueltas
alrededor de la casa y de último saltó sobre el techo y se sentó a esperar que Caperucita Roja
regresara a su casa al atardecer para entonces saltar sobre ella y devorarla en la oscuridad. Pero la
abuelita conocía muy bien sus malas intenciones. Al frente de la casa había una gran olla, así que le
dijo a la niña: “Mira Caperucita Roja, ayer hice algunas ricas salsas, por lo que trae con agua la
cubeta en las que las cociné, a la olla que está afuera.” Y llenaron la gran olla a su máximo,
agregando deliciosos condimentos. Y empezaron aquellos deliciosos aromas a llegar a la nariz del
lobo, y empezó a aspirar y a caminar hacia aquel exquisito olor. Y caminó hasta llegar a la orilla del
techo y estiró tanto su cabeza que resbaló y cayó de bruces exactamente al centro de la olla
hirviente, ahogándose y cocinándose inmediatamente. Y Caperucita Roja retornó segura a su casa y
en adelante siempre se cuidó de no caer en las trampas de los que buscan hacer daño.
FINIS
Versión 4
Delarue, 1957
Paul Delarue, Le conte populaire français. Catalogue raisonné des versions de France et des pays de
langue française d’outre mer. t.1. París, Maisonneuve et Larose, 1976, 394 pp.
Conte type no 333
LE PETIT CHAPERON ROUGE
Aa. Th. 333 : THE GLUTTON (RED RIDING HOOD), LE GLOUTON (LE PETIT CHAPERON
ROUGE). – Grimm, no 26 : ROTKAPPCHEN
Version nirvenaise. —CONTE DE LA MERE GRAND
(Texte intégral)
C’était une femme qui avait fait du pain. Elle dit à sa fille :
—Tu vas porter une époigne (1) toute chaude et une bouteille de lait à ta grand.
Voilà la petite fille partie. A la croisée de deux chemins, elle rencontra le bzou (2) qui lui dit :
—Où vas-tu ?
— Je porte une époigne toute chaude et une bouteille de lait à ma grand.
—Quel chemin prends tu ? dit le bzou, celui des Aiguilles ou celui des Épingles ?
—Celui des Aiguilles, dit la petite fille.
—Eh bien ! moi, je prends celui des Épingles.
La petite fille s’amusa à ramasser des aiguilles; et le bzou arriva chez la Mere grand, la tua, mis de
sa viande dans l’arche et une bouteille de sang sur la bassie. La petite fille arriva, frappa à la porte.
—Pousse la porte, dit le bzou. Elle est barrée avec une paille mouillée.
—Bonjour, ma grand, je vous apporte une époigne toute chaude et une bouteille de lait.
—Mets-les dans l’arche, mon enfant, dit le bzou, et viens te coucher vers moi.
—Ou faut-il mettre mon tablier ?
— Jette-le au feu, mon enfant, tu n’en as plus besoin.
—Et pour tous les habits, le corset, la robe, le cotillon, les chausses, elle lui demandait où les mettre.
Et le loup répondait : « Jette-les au feu, mon enfant, tu n’en as plus besoin (3). »
Quand elle fut couchée, la petite fille dit :
—Oh ! ma grand, que vous êtes poilouse !
—C’est pour mieux me réchauffer, mon enfant !
—Oh ! ma grand, ces grands ongles que vous avez !
—C’est pour mieux me gratter, mon enfant !
—Oh ! ma grand, ces grands épaules que vous avez !
—C’est pour mieux porter mon fagot de bois mon enfant !
—Oh ! ma grand, ces grandes oreilles que vous avez !
—C’est pour mieux entendre, mon enfant !
—Oh ! ma grand, ces grands trous de nez que vous avez !
—C’est pour mieux priser mon tabac, mon enfant !
—Oh ! ma grand, cette grande bouche que vous avez !
—C’est pour mieux te manger, mon enfant !
—Oh ! ma grand, que j’ai faim d’aller dehors (4)!
—Fais au lit, mon enfant !
—Oh ! non, ma grand, je veux aller dehors.
—Bon, mais pas pour longtemps.
Le bzou lui attacha un fil de laine au pied et la laissa aller.
Quand la petite fut dehors, elle fixa le bout du fil à un prunier de la cour. Le bzou s’impacientait et
disait :
« Tu fais (5) donc des cordes ? Tu fais donc des cordes ? »
Quand il se rendit compte que personne ne lui répondait, il se jeta à bas du lit et vit que la petite
était sauvée. Il la poursuivit, mais il arriva a sa maison juste au moment où elle entrait.
Ms. A. Millien. Conté par Louis et Francois Briffault, de Montigny aux Amognes (Nièvre), vers
1885. A. Millien a donné des extraits un peu arrangés de cette version dans Melusine, III, 1886-1887,
col. 428-429.
(1) Époigne. Petit pain que l’on faisait, le plus souvent pour les enfants, avec des rognures de la pate
lors de la cuisson du pain (du bas lat. poigneia, pugneia, poignée ; du lat. pugnus).
(2) J’ai demandé au conteur : « Qu’appelez vouz le bzou ? —C’est, m’a-t-il dit, comme le brou ou le
garou ; on dit aussi en nirvenais loup-brou ou loup-garou, mais je n’ai jamais entendu dire que dans ce
conte le bzou » (A. M.). Dans une version nirvenaise du conte de la petite fille qui cherche ses frères
(Type 451), c’est un loup-garou qui suce chaque jour le doigt de la fillete et lui retire le sang.
(3) pour chaque vêtement, le conteur répète la question de la fillette et la réponse du loup.
(4) Euphémisme employé en Nirvenais por dire que l’on est pressé par la nécessité de satisfaire un
besoin. Remarquer l’analogie du pretexte pour sortir dans les versions nivernaise, morvandelle,
tourangelle et dans les versions asiatiques que nous examinons plus loin.
(5) Le conteur emploie le mot grossier au lieu de « fais ».
Versión 5
Gabriela Mistral, 1924
http://www.7calderosmagicos.com.ar/Druida/Poesias/CperucitaMistral.htm
Consultado el 6 de octubre de 2009
Caperucita Roja
Caperucita Roja visitará a la abuela
que en el poblado próximo sufre de extraño mal.
Caperucita Roja, la de los rizos rubios
tiene el corazoncito tierno como un panal.
A las primeras luces ya se ha puesto en camino
y va cruzando el bosque con un pasito audaz.
Sale al paso Maese lobo, de ojos diabólicos.
"¡Caperucita Roja, cuéntame a dónde vas!".
Caperucita es cándida como los lirios blancos.
"Abuelita ha enfermado. Le llevo aquí un pastel
y un pucherito suave, que se derrite en jugo.
¿Sabes del pueblo próximo? Vive a la entrada de él".
Y ahora, por el bosque discurriendo encantada,
recoge bayas rojas, corta ramas en flor.
Y se enamora de unas mariposas pintadas
que le hacen olvidarse del viaje del Traidor.
El lobo fabuloso de blanqueados dientes
ha pasado ya el bosque, el molino, el alcor,
y golpea en la plácida puerta de la abuelita
que le abre. ¡A la niña, ha anunciado el traidor!
Ha tres días la bestia no sabe de bocado.
¡Pobre abuelita inválida, quién la va a defender!
... Se la comió riendo toda y pausadamente
y se puso en seguida sus ropas de mujer.
Tocan dedos menudos a la entornada puerta.
De la arrugada cama, dice el Lobo: "¿Quién va?".
La voz es ronca. "Pero la abuelita está enferma",
la niña ingenua explica. "De parte de mamá".
Caperucita ha entrado, olorosa de bayas.
Le tiemblan en las manos gajos de salvia en flor.
"Deja los pastelitos; ven a entibiarme el lecho".
Caperucita cede al reclamo de amor.
De entre la cofia salen las orejas monstruosas.
"¿Por qué tan largas?", dice la niña con candor.
Y el velludo engañoso, abrazando a la niña:
"¿Para qué son tan largas? Para oírte mejor".
El cuerpecito tierno le dilata los ojos.
El terror en la niña los dilata también.
"Abuelita, decidme ¿por qué esos grandes ojos?"
"Corazoncito mío, para mirarte bien..."
Y el viejo Lobo ríe, y entre la boca negra
tienen los dientes blancos un terrible fulgor.
"Abuelita, decidme ¿por qué esos grandes dientes?"
"Corazoncito, para devorarte mejor..."
Ha arrollado la bestia, bajo sus pelos ásperos
el cuerpecito trémulo, suave como un vellón,
y ha molido las carnes y ha molido los huesos
y ha exprimido como una cereza el corazón.
Versión 5
Angela Carter, 1979
Angela Carter, “The Company of Wolves”, en The Bloody Chamber and other stories, Gollanz, 1979.
It is midwinter and the robin, friend of man, sits on the handle of the gardener's spade and sings. It
is the worst time in all the year for wolves, but this strong-minded child insists she will go off
through the wood. She is quite sure that wild beast cannot harm her although, well warned, she
lays a carving knife in the basket her mother has packed with cheeses. There is a bottle of harsh
liquor distilled from brambles; a batch of flat oak cakes baked on the hearthstone; a pot or two of
jam. The flaxen-haired girl will take these delicious gifts to a reclusive grandmother so old the
burden of her years is crushing her to death. Granny lives two hours' trudge through the winter
woods; the child wraps herself up in her thick shawl, draws it over her head. She steps into her
stout wooden shoes; she is dressed and ready and it is Christmas Eve. The malign door of the
solstice still swings upon its hinges, but she has been too much loved to ever feel scared.
Children do not stay young for long in this savage country. There are no toys for them to play with,
so they work hard and grow wise, but this one, so pretty and the youngest of her family, a little
latecomer, had been indulged by her mother and the grandmother who'd knitted the red shawl that
today has the ominous if brilliant look of blood on snow. Her breasts have just begun to swell, her
hair is like lint, so fair it hardly makes a shadow on her pale forehead; her cheeks are an emblematic
scarlet and white and she has just started her woman's bleeding, the clock inside her that will strike,
henceforth, once a month.
She stands and moved within the invisible pentacle of her own virginity. She is an unbroken egg;
she is a sealed vessel; she has inside her a magic space the entrance to which is shut tight with a
plug of membrane; she is a closed system; she does not known how to shiver. She has her knife and
she is afraid of nothing.
Her father might forbid her, if he were home, but he is away in the forest, gathering wood, and her
mother cannot deny her.
The forest is closed upon her like a pair of jaws.
There is always something to look at in the forest, even in the middle of winter - the huddled
mounds of birds, succumbed to the lethargy of the season, heaped on the creaking boughs and too
forlorn to sing; the bright frills of the winter fungi on the blotched trunks of trees; the cuneiform
slots of rabbits and deer, the herringbone tracks of the birds, a hare as lean as a rasher of bacon
streaking across the path where the thin sunlight dapples the russet brakes of last year's bracken.
When she heard the freezing howl of a distant wolf, her practiced hand sprang to the handle of the
knife, but she saw no sign of a wolf at all, nor of a naked man, neither, but then she heard a
clattering among the brushwood and there sprang onto the path a fully clothed one, a very
handsome one, in the green coat and wide-awake hat of a hunter, laden with the caresses of game
birds. She had her hand on the knife at the first rustle of twigs, but he laughed with a flash of white
teeth when he saw her and made her a comic yet flattering little bow; she'd never seen such a fine
fellow before, not among the rustic clowns of her native village. So on they went together, through
the thickening light of the afternoon.
Soon they were laughing and joking like old friends. When he offered to carry her basket, she gave
it to him although her knife was in it because he told her his rifle would protect them. As the day
darkened, it began to snow again; she felt the first flakes settle on her dark eyelashes, but now there
was only half a mile to go and there would be fire, and hot tea, and a welcome, a warm one, surely,
for this dashing huntsman as well as herself.
This huntsman had a remarkable object in his pocket. It was a compass. She looked at the little
round glass face in the palm of his hand and watched the wavering needle with a vague wonder.
He assured her this compass had taken him safely through the wood on his hunting trip because
the needle always told him with perfect accuracy where north was. She did not believe it; she knew
she should never leave the path on the way through the wood or else she would be lost instantly.
He laughed at her again; gleaming trails of spittle clung to his teeth. He said if he plunged off the
path into the forest that surrounded them, he could guarantee to arrive at her grandmother's house
a good quarter of an hour before she did, plotting his way through the undergrowth with his
compass while she trudged the long way, along the winding path.
I don't believe you. Besides, aren't you afraid of the wolves?
He only tapped the gleaming butt of his rifle and grinned.
Is it a bet? He asked her. Shall we make a game of it? What will you give me if I get to your
grandmother's house before you?
What would you like? She asked disingenuously.
A kiss.
Commonplace of a rustic seduction; she lowered her eyes and blushed.
He went through the undergrowth and took her basket with him, but she forgot to be afraid of the
beasts, although now the moon was rising, for she wanted to dawdle on her way to make sure the
handsome gentleman would win his wager.
Grandmother's house stood by itself a little way out of the village. The freshly fallen snow blew in
the eddies abut the kitchen garden and the young man stepped delicately up the snowy path to the
door as if her were reluctant to get his feet wet, swinging his bundle of game and the girl's basket
and humming a little tune to himself.
There was a faint trace of blood on his chin; he has been snacking on his catch.
Aged and frail, granny is three-quarters succumbed to the mortality the ache in her bones promises
her and almost about ready to give in entirely. A boy came out from the village to build up her
hearth for the night an hour ago, and the kitchen crackled with the busy firelight. She has her Bible
for company; she is pious old woman. She is propped up on several pillows in the bed set into the
wall peasant fashion, wrapped up in the patchwork quilt she made before she was married, more
years ago than she cares to remember. Two china spaniels with liver collared blotches on their coats
and black noses sit on either side of the fireplace. There is a bright rug of woven rags on the
pantiles. The grandfather clock ticks away her eroding time.
We keep the wolves out by living well.
He rapped upon the panels with his hairy knuckles.
It is your granddaughter, he mimicked in a high soprano.
Lift the latch and walk in, my darling.
You can tell them by their eyes, eyes of a beast of prey, nocturnal, devastating eyes as red as a
wound; you can hurl your Bible at him and your apron after, granny; you thought that was sure
prophylactic against these infernal vermin …Now call on Christ and his mother and all the angels
in heaven to protect you, but it won't do you any good.
His feral muzzle is sharp as a knife; he drops his golden burden of gnawed pheasant on the table
and puts down your dear girl's basket too. Oh, my God, what have you done with her?
Off with his disguise, the coat of forest-colored cloth, the hat with the feather tucked into the
ribbon; his matted hair streams down his white shirt and she can see the lice moving in it. The
sticks in the hearth shift and hiss; night and the forest have come into the kitchen with darkness
tangled in his hair.
He strips off his shirt. Hi skin is the color and texture of vellum. A crisp strip of hair runs down his
belly, his nipples are ripe and dark as poison fruit, but he's so thin you could count the ribs under
his skin if only he gave you the time. He strips off his trousers and she can see how hairy his legs
are. His genitals, huge. Ah! Huge.
The last things the old lady saw in all this world was a young man, eyes like cinders, naked as a
stone, approaching her bed.
The wolf is carnivore incarnate.
When he had finished with her, he licked his chops and quickly dressed himself again, until he was
just as he had been when he came through her door. He burned the inedible hair in the fireplace
and wrapped the bones up in a napkin that he hid away under the bed in the wooden chest in
which he found a clean pair of sheets. These he carefully put on the bed instead of the telltale he
stowed away in the laundry basket. He plumped up the pillows and shook the patchwork quilt; he
picked up the Bible from the floor, closed it and laid it on the table. All was as it had been before
except that grandmother was gone. The sticks twitched in the grate, the clock ticked and the young
man sat patiently, deceitfully beside the bed in granny's nightcap.
Rat-a-tap-tap.
Who's there, he quavers in granny's antique falsetto.
Only your granddaughter.
So she came in, bringing with her a flurry of snow that melted in tears on the tiles, and perhaps she
was a little disappointed to see only her grandmother sitting beside the fire. But then he flung off
the blanket and sprang to the door, pressing his back against it so she could not get out again.
The girl looked round the room and saw there was not even the indentation of a head on the
smooth cheek of the pillow and how, for the first time she had seen it so, the Bible lay closed on the
table. The tick of the clock cracked like a whip. She wanted her knife from the basket but she did
not dare reach for it because his eyes were fixed upon her - huge eyes that now seemed to shine
with a unique, interior light, eyes the size of saucers, saucers full of Greek fire, diabolic
phosphorescence.
What big eyes you have.
All the better to see you with.
No trace at all of the old woman except for a tuft of white hair that had caught in the bark of an
unburned log. When the girl saw that, she knew she was in danger of death.
Where is my grandmother?
There's nobody here but we two, my darling.
Now a great howling rose up all around them, near, very near, as close as the kitchen garden, the
howling of a multitude of wolves; she knew worst wolves are hairy on the inside and she shivered,
in spite of the scarlet shawl she pulled more closely round herself as if it could protect her, although
it was as red as blood she must spill.
Who has come to sing us carols? She said.
Those are the voices of my brothers, darling; I love the company of wolves. Look out the windows
and you will see them.
Snow half-caked the lattice and she opened it to look into the garden. It was a white night of moon
and snow; the blizzard whirled round the gaunt, gray beasts that squatted on their haunches
among the rows of winter cabbage, pointing their sharp snouts to the moon and howling as if their
hearts would break. Ten wolves; twenty wolves - so many wolves she could not count them,
howling in concert as if demented or deranged. Their eyes reflected light from the kitchen and
shone like a hundred candles.
It is very cold, poor things, she said; no wonder they howl so.
She closed the window on the wolves' threnody and took off her scarlet shawl, the color of poppies,
the color of sacrifices, the color of her menses, and since her fear did her no good, she ceased to be
afraid.
What shall I do with my shawl?
Throw it in the fire, dear one. You won't need it again.
She bundled up her shawl and threw it in the blaze, which instantly consumed it. Then she drew
her blouse over her head; her small breasts gleamed as if the snow had taken over the room.
What shall I do with my blouse?
Into the fire with it, too, my pet.
The thin muslin went flaring up the chimney like a magic bird and now off came her skirt, her
woolen stockings, her shoes, and they onto the fire they went, too, and were gone for good. The
firelight shone through the edges of her skin; now she was clothed only in her untouched
integument of flesh. Thus dazzling, naked, she combed out her hair with her fingers; her hair
looked white as the snow outside. Then went directly to the man with red eyes in whose unkempt
mane the lice moved; she stood up on tiptoe and unbuttoned the collar of his shirt.
What big arms you have.
All the better to hug you with.
Every wolf in the world now howled a prothalamion outside the window as she freely gave him
the kiss she owed him.
What big teeth you have!
She saw how his jaw began to slaver and the room was full of the clamor of the forest's Liebestod,
but the wise child never flinched, even when he answered:
All the better to eat you with.
The girl burst out laughing; she knew she was nobody's meat. She laughed at him full in the face,
ripped off his shirt for him and flung it into the fire, in the fiery wake of her own discarded
clothing. The flames danced like dead souls on Walpurgisnacht and the old bones under the bed set
up a terrible clattering, but she did not pay them any heed.
Carnivore incarnate, only immaculate flesh appeases him.
She will lay his fearful head on her lap and she will pick out the lice from his pelt and perhaps she
will put the lice into her own mouth and eat them, as he will bid her, as she would do in a savage
marriage ceremony.
The blizzard will die down.
The blizzard died down, leaving the mountains as randomly covered with snow as if a blind
woman had thrown a sheet over them, the upper branches of the forest pines limed, creaking,
swollen with the fall.
Sunlight, moonlight, a confusion of paw prints.
All silent, all still.
Midnight, the clock strikes. It is Christmas Day, the werewolves' birthday; the door of the solstice
stands wide open; let them all sink through.
See! Sweet and sound she sleeps in granny's bed, between the paws of the tender wolf.
Versión 6
Darnton, 1983
Robert Darnton, La gran matanza de gatos y otros episodios en la historia de la cultura francesa.
México, FONDO DE CULTURA ECONÓMICA, 1987. 269 pp.
Había una vez una niñita a la que su madre le dijo que llevara pan y leche a su abuela. Mientras la
niña caminaba por el bosque, un lobo se le acercó y le preguntó a donde se dirigía.
—A casa de mi abuela—le contestó.
—¿Qué camino vas a tomar, el camino de las agujas o el de los alfileres?
—El camino de las agujas.
El lobo tomó el camino de los alfileres y llegó primero a la casa. Mató a la abuela, puso su sangre en
una botella y partió su carne en rebanadas sobre un platón. Después se vistió con el camisón de la
abuela y esperó acostado en la cama.
La niña tocó a la puerta.
—Entra, hijita.
—¿Cómo estás, abuelita? Te traje pan y leche.
Come tú también, hijita. Hay carne y vino en la alacena.
La pequeña comió así lo que se le ofrecía; y mientras lo hacía, un gatito dijo:
—¡Cochina! ¡Has comido la carne y has bebido la sangre de tu abuela!
Después el lobo le dijo:
—Desvístete y métete en la cama conmigo.
—¿Dónde pongo mi delantal?
—Tíralo al fuego; nunca más lo necesitarás. Cada vez que se quitaba una prenda (el corpiño, la
falda, las enaguas y las medias) la niña hacía la misma pregunta; y cada vez el lobo le contestaba:
—Tírala al fuego; nunca más la necesitarás.
Cuando la niña se metió en la cama, preguntó:
—Abuela, ¿por qué estás tan peluda?
—Para calentarme mejor, hijita.
Abuela, ¿por qué tienes esos hombros tan grandes?
—Para cargar mejor la leña, hijita.
—Abuela, ¿por qué tienes esos dientes tan grandes?
—Para comerte mejor, hijita.
Y el lobo se la comió.
Versión 7
Roald Dahl 1983
Roald Dahl, “Little Red Riding Hood and the Wolf”, en Revolting Rhymes, Nueva York, Knopf, 1983.
As soon as Wolf began to feel
That he would like a decent meal,
He went and knocked on Grandma's door.
When Grandma opened it, she saw
The sharp white teeth, the horrid grin,
And Wolfie said, ``May I come in?''
Poor Grandmamma was terrified,
``He's going to eat me up!'' she cried.
And she was absolutely right.
He ate her up in one big bite.
But Grandmamma was small and tough,
And Wolfie wailed, ``That's not enough!
I haven't yet begun to feel
That I have had a decent meal!''
He ran around the kitchen yelping,
``I've got to have a second helping!''
Then added with a frightful leer,
``I'm therefore going to wait right here
Till Little Miss Red Riding Hood
Comes home from walking in the wood.''
He quickly put on Grandma's clothes,
(Of course he hadn't eaten those).
He dressed himself in coat and hat.
He put on shoes, and after that
He even brushed and curled his hair,
Then sat himself in Grandma's chair.
In came the little girl in red.
She stopped. She stared. And then she said,
``What great big ears you have, Grandma.''
``All the better to hear you with,'' the Wolf replied.
``What great big eyes you have, Grandma.''
said Little Red Riding Hood.
``All the better to see you with,'' the Wolf replied.
He sat there watching her and smiled.
He thought, I'm going to eat this child.
Compared with her old Grandmamma
She's going to taste like caviar.
Then Little Red Riding Hood said, ``But Grandma,
what a lovely great big furry coat you have on.''
``That's wrong!'' cried Wolf. ``Have you forgot
To tell me what BIG TEETH I've got?
Ah well, no matter what you say,
I'm going to eat you anyway.''
The small girl smiles. One eyelid flickers.
She whips a pistol from her knickers.
She aims it at the creature's head
And bang bang bang, she shoots him dead.
A few weeks later, in the wood,
I came across Miss Riding Hood.
But what a change! No cloak of red,
No silly hood upon her head.
She said, ``Hello, and do please note
My lovely furry wolfskin coat.''
Caperucita Roja y el Lobo
Estando una mañana haciendo el bobo,
le entró un hambre espantosa al señor lobo,
así que, para echarse algo a la muela,
se fue corriendo a casa de la abuela.
¿Puedo pasar, señora?, preguntó.
La pobre anciana, al verlo, se asustó
pensando: ¡Este, me come de un bocado!
y claro, no se había equivocado:
se convirtió la abuela en alimento
en menos tiempo del que aquí te cuento.
Lo malo es que era flaca y tan huesuda
que al lobo no le fue de gran ayuda:
sigo teniendo un hambre aterradora...
¡tendré que merendarme otra señora!
Y al no encontrar ninguna en la nevera,
gruñó con impaciencia aquella fiera:
¡esperaré sentado hasta que vuelva
Caperucita Roja de la selva!
—que así llamaba al bosque la alimaña,
creyéndose en Brasil y no en España —.
Y porque no se viera su fiereza
se disfrazó de abuela con presteza,
se dio laca en las uñas y en el pelo,
se puso la gran falda gris de vuelo,
zapatos, sombrerito, una chaqueta
y se sentó en espera de la nieta.
Llegó por fin Caperu a mediodía
y dijo: ¿cómo estás abuela mía?
Por cierto ¡me impresionan tus orejas!
para mejor oírte que la viejas
somos un poco sordas. ¡Abuelita,
Que ojos tan grandes tienes!, claro, hijita
son las lentillas nuevas que me ha puesto
para que pueda verte don Ernesto
el oculista, dijo el animal
mirándola con gesto angelical
mientras se le ocurría que la chica
iba a saberle mil veces más rica
que el rancho precedente. De repente
Caperucita dijo: ¡que imponente
abrigo de piel llevas este invierno!
El lobo estupefacto, dijo: ¡un cuerno!
o no sabes el cuento o tu me mientes:
¡ahora te toca hablarme de mis dientes!
¿me estas tomando el pelo? oye mocosa,
te comeré ahora mismo y a otra cosa.
Pero ella se sentó en un canapé
y se sacó un revólver del corsé,
con calma apuntó bien a la cabeza
y ¡pam! allí cayó la buena pieza.
****
Al poco tiempo vi a Caperucita
cruzando por el bosque... ¡pobrecita!
¿Sabéis lo que llevaba la infeliz?
Pues nada menos que una sobrepelliz
que a mí me pareció de piel de un lobo
que estuvo una mañana haciendo el bobo.
FIN
[Trad. de Miguel Azaola]
Versión 8
Almodóvar, 2004
Antonio Rodríguez Almodóvar, La verdadera historia de Caperucita, Kalandraka Ediciones, Sevilla,
2004.
[Nota preliminar] Esta versión de Caperucita se basa en textos recogidos de la tradición oral francesa y
estudiados por el gran folklorista Paul Delarue. También tiene en cuenta las discusiones teóricas de otros
estudiosos, como antropólogos, semiólogos y psicoanalistas, principalmente Bruno Bettelheim y Erich Fromm,
acerca de las distintas adaptaciones posteriores del cuento.
Había una vez una niña muy guapa que vivía en un pueblecito, cerca de un bosque.
La llamaban Caperucita, o Caperucita Roja, porque su abuela, que vivía en otro pueblo de por allí,
le había regalado una capa de ese color, con una capucha para el frío.
A la niña le gustaba tanto aquella prenda que a todas horas se la quería poner, pero su madre le
había dicho que era sólo para salir de casa, lo cual no ocurría muy a menudo.
Casi todo el tiempo Caperucita se la pasaba aprendiendo a coser, venga a coser. Pero como esto no
le gustaba nada, en vez de meter la aguja por la tela, prefería poner alfileres. Así acababa antes.
Un día, su mamá, que tenía la buena costumbre de hacer toda clase de tortitas, magdalenas y otros
dulces en el horno de casa, sacó unos bollos de leche que desprendían un olor riquísimo.
En cuanto Caperucita los olió, soltó la costura y se plantó corriendo en la cocina:
—¿Puedo comerme uno, mamá?
—No hija, que están muy calientes y te harían daño en la tripita. Mejor ve a casa de la abuela, que
está maluscona, y le llevas unos cuantos.
Cuando llegues, seguro que ya se habrán enfriado. Ah, y llévale también una botella de leche.
La niña se puso muy contenta y fue inmediatamente a colocarse su capa y su caperuza roja.
Agarró el canasto y ya salía por la puerta cuando su mamá le dijo:
—Caperucita, no te entretengas y ve derecha a casa de la abuela. Cuando llegues, dale los buenos
días y no te pongas a curiosear por todas partes, que sabes que eso no le gusta.
—Descuida, mamá –dijo Caperucita.
Y se fue dando saltos, con su cestito, su capa roja y su caperuza roja muy bien atada por debajo de
la barbilla.
Para llegar a casa de la abuela había que cruzar el bosque. La niña entró por un camino, pero
cuando llevaba un rato andando, se tropezó con el compadre lobo.
A este (sic) le entraron unas ganas tremendas de comerse a Caperucita allí mismo.
Pero aquel viejo tunante tenía un plan mucho mejor.
—Caperucita, ¿adónde vas tan guapa?
—A casa de mi abuelita, que está maluscona
—Ah, muy bien –dijo el lobo—. ¿Y dónde vive tu abuelita?
—Pues...
—Espera que lo adivine –el lobo hizo como que pensaba—. ¡Ya lo tengo! En la última casa del
pueblo que hay a la salida del bosque.
—¡No, no, en la primera! Al lado de la fuente –dijo la niña, que sin darse cuenta acababa de darle al
lobo la información que necesitaba.
—¡Caramba! Siendo así, llegarás enseguida. Y dime, ¿qué camino piensas tomar? ¿El de las agujas o
el de los alfileres?
Capurucita se echo a reir y contestó como un rayo:
—¡El de los alfileres!
—Haces muy bien, hijita. Es el más corto y sale al mismo sitio. Tienes tiempo de sobra.
Por cierto, ¿no te has fijado que día tan hermoso hace? ¿Has visto como cantan el herrerillo, el mirlo
y el pinzón?
¿No te gustaría corretear un poco por el bosque entre las violetas, las campanillas y los narcisos
amarillos? Huele, huele...
El lobo llenó sus pulmones, aspirando por aquel hocico tan negro que tenía.
Y Caperucita se puso a respirar también dilatando su naricilla.
Y era cierto que todo olía maravillosamente y que el trino de los pájaros resonaba en el prado
multicolor.
—¿Te das cuenta, muchacha? Incluso podías llevarle un ramillete de flores a tu pobre abuelita. ¡Y
no te costarían ni un céntimo!
—No, no... que mi mamá me ha dicho que no me entretenga...
—Si sólo será un momento, mujer. Seguro que a tu abuela le encantará ese detalle.
Caperucita, después de pensarlo un poco, soltó el canasto y se puso a dar brincos por allí. No sabía
que el lobo acababa de engañarle, indicándole el camino de las agujas, o sea, el más largo.
Y entre eso y lo que ella se entretuvo cortando las delicadas violetas y dando saltos de un lado a
otro, se le hizo muy tarde.
Fue el tiempo que necesitó el lobo para llegar a casa de la abuela, por el camino de los alfileres.
Llamó a la puerta, ¡pam!, ¡pam!
—¿Quién es? –preguntó la abuela desde la cama.
El lobo puso voz de niña, y dijo:
—Soy yo, abuela, tu nietecita.
—¡Uy, que voz más rara tienes!
—Es que estoy un poco acatarrada –dijo el lobo.
—Está bien, hija. Tira de la cuerda y levanta la tarabilla, que no está cerrado.
El lobo así lo hizo y entró en la casa. Primero le pegó una patada al gato, que andaba por allí.
Luego, de un salto, alcanzó la cama y en un momento, ¡ñam, ñam!, se comió a la pobre mujer.
Después echó las cortinas, avivó el fuego y se metió en la cama, con el camisón y la cofia de la
abuela. Como la cofia tenía muchos encajes, con aquella narizota y aquellos colmillos tan grandes.
Al poco llegó Caperucita, con su canastito, su capa roja y sus flores recién cortadas. ¡Pam, pam!,
llamó.
—¿Quién es? –preguntó el lobo, fingiendo la voz de la abuela.
—Soy yo, Caperucita, que te traigo unos bollos, una botella de leche, ¡y un ramito de flores
silvestres!
—Está bien, hijita, tira de la cuerda y levanta la tarabilla.
Caperucita así lo hizo y entró. Muy despacio, porque apenas se veía nada.
—¡Qué oscuro está esto, abuelita!
—Más oscuro está el corazón del lobo –dijo el gato detrás de las cortinas.
Pero Caperucita no lo oyó bien y le pareció que era algo que había dicho la abuela.
—¿Qué dices, abuelita?
—Nada, nada, son mis tripas.
—¿Tienes hambre?
Entonces dijo el gato:
—No te fíes, Caperucita, y lárgate con la cestita.
—¿Qué dices, abuelita?
—¡Nada, nada, son mis tripas!
—Te he traído los bollos de leche que hace mi mamá...
—La verdad es que me apetecería más un poco de carne. ¿A ti no?
Y el gato decía:
—¡Que es el lobo, Caperucita, que es el lobo!
—¿Qué dices, abuelita?
—Nada, hija, que me suenan las tripitas.
—¡Corre, Caperucita, corre! –gritó el gato, saliendo de un salto de su escondrijo.
Pero Caperucita se asustó y, no sabiendo donde esconderse, se metió en la cama, gritando:
—¡Ay, abuelita!
—Ven aquí, hijita. ¡No tengas miedo! –dijo el lobo, abrazándola.
Caperucita notó que tenía muchos pelos y le dijo:
—Abuelita, abuelita, ¡qué velluda eres!
—Es para calentarme mejor –dijo el lobo, abrazóndola más.
Luego empezó a desatarle la cinta de la caperuza.
—Abuelita, ¿qué me haces?
—Te quito la caperucita. No querrás dormir con ella, ¿verdad?
—Sí, no, bueno... ¿Dónde la pongo?
—A los pies de la cama.
Caperucita se levantó. Luego dijo:
—¿Y dónde pongo el corsé?
—Échalo al fuego, que ya está viejo.
—¿Y donde pongo el vestido?
—Échalo al fuego que está deslucido.
A Caperucita le extrañaron mucho aquellas respuestas y empezó a caminar por la habitación,
buscando donde dejar la ropa, en vez de tirarla al fuego.
Más le extrañó que su abuela no protestara como siempre que ella se ponía a curiosear por allí.
Entonces empezó a sospechar. Y el gato maulló más fuerte:
—¡Tonta, Caperucita! ¿No te das cuenta que ésa no es tu abuelita?
Pero Caperucita sólo vio los ojos del gato en la oscuridad. Se asustó de nuevo y volvió a la cama.
Allí el lobo la abrazó otra vez. Y Caperucita dijo:
—Abuelita, ¡qué unas tan grandes tienes!
—Es para rascarme mejor.
—Abuelita, abuelita, ¡qué hombros tan anchos tienes!
—Es para llevar mi haz de leña mejor.
—Abuelita, abuelita, ¡qué nariz tan grande tienes!
—Es para aspirar mi tabaco mejor.
Y cuando Caperucita ya se fijó en la bocaza del lobo, dijo:
—Abuelita, abuelita, ¡que me estoy haciendo caca!
—Ay hija, ¡qué ocurrencia tienes! ¿Ahora?
—¡Sí, ahora! ¡No me puedo aguantar!
—Está bien, sal un momento fuera, pero no tardes, que hace mucho frío y andan por allí los lobos.
—Que me lo digan a mí –dijo Caperucita, pero en voz muy baja.
—Por si acaso, te amarraré una cuerdecita, y si sientes algún peligro, tira de ella para que yo acuda
enseguida.
Así que el lobo le amarró a Caperucita una cuerda por la muñeca. En realidad era para que no se
escapara. Caperucita recogió el corsé y el vestido, pues fue lo único que encontró en la oscuridad,
salió y se puso debajo de una higuera, como la que tiene que hacer... eso.
Pero lo que hizo fue morder la cuerda, venga a morder.
Mientras tanto, el lobo, desde adentro, decía:
—¿Te pasa algo, Caperucita?
—No abuela, es la tripita, que está muy durita.
Y al cabo de un rato, como tardaba tanto:
—Hija, Caperucita, has acabado?
Pero la niña había conseguido romper la cuerda y había salido corriendo.
Cuando el lobo se dio cuenta, salió corriendo detrás de ella. Claro que Caperucita le llevaba un
buen trecho, porque además ya se había dado cuenta de cuál era el camino más corto.
Corriendo llegó a su casa y al lobo lo dejó con tres palmos de narices.
—¡Pero hija! ¿De dónde vienes tan sofocada? –preguntó la madre—. ¿Y tu caperuza roja, con lo
linda que era?
Entonces la niña contestó:
—A los pies de la cama la dejé, ¡y no vuelvo por ella aunque de frío me muera!
Y colorín colorado, este verdadero cuento se ha acabado.
APÉNDICE 2
Cuadro 1. Principales obras de Charles Perrault por su relación cronológica o temática con
los Cuentos de antaño
Año Obras
1675 El laberinto de Versalles
1691 Griselidis
1693 Los deseos ridículos
1694 Piel de asno
1695 Volumen de cuentos en verso con prefacio añadido (incluye Griselidis, Piel de asno
y Los deseos ridículos)
1697 1. Paralelo de los antiguos y los modernos
2. Hombres ilustres I
1700 Hombres ilustres II
Año Obra Atribución a Pierre Sin nombre de autor Atribución a Charles
1695 Copia manuscrita de los Cuentos de Mamá
Oca [Contes de ma Mère l’Oye]. Incluye:
Dedicatoria a Mademoiselle, “La bella
durmiente”, “Caperucita roja”, “Barba Azul”,
“El gato con botas” y “Las hadas”
Firmado por “P.P.”
1696 “La bella durmiente” En agosto se imprime La Marquise‐Marquis
de Banneville, donde se dice que es obra “del
hijo de un Maestro” sin especificar el
nombre del autor
En febrero se publica en el Mercurio sin
nombre de autor, pero diciendo que es “de
la misma persona que escribió la historia de
la pequeña Marquesa”
1696 Mención a los Cuentos de Mamá Oca Dubos comenta a Bayle que Barbin está
imprimiendo “los Cuentos de Mamá Oca por
M. Perrault”
Dubos comenta a Bayle que Barbin está
imprimiendo “los Cuentos de Mamá Oca por
M. Perrault”
1696 Privilegio de los Cuentos Otorgado a Pierre el 26 de octubre
1697 Cuentos [Histoires ou contes du temps passé]
también citados como Cuentos en prosa
(para distinguirlo de aquéllos en verso).
Incluye: “La bella durmiente”, “Caperucita
Roja”, “Barba azul”, “El gato con botas”, “Las
Hadas”, “Cenicienta”, “Riquete el del copete”
y “Pulgarcito”.
1ª publicación firmada por “P. Darmancour”
Dubos los atribuye a M. Perrault
Se publican en Holanda, “Por el hijo de M.
Perrault, de la Academia francesa”
Se dice que Mme d’Aulnoy prepara un
segundo volumen a los Cuentos de Mamá
Oca de M. Perrault
En enero, el Mercurio dice que son del
mismo autor que “La Bella durmiente”
Los publica Moetjens sin autor
Dubos los atribuye a M. Perrault
Se dice que Mme d’Aulnoy prepara un
segundo volumen a los Cuentos de Mamá
Oca de M. Perrault
1703 Cuentos Villiers dice que se atribuyen al hijo de un
célebre académico en Entretiens sur les
contes de fées
1703 La bella durmiente Atribuido a Charles Perrault en la nota
necrológica del Mercurio
1707 Cuentos Edición de Veuve de Jasques Desbordes:
M. Perrault
Edición de Veuve de Jasques Desbordes:
M. Perrault
1721 Cuentos Edición de Veuve de Jasques Desbordes:
M. Perrault
Edición de Veuve de Jasques Desbordes:
M. Perrault
1724 Cuentos Edición de Nicolas Gosselin: Sin autor
1742 Cuentos Edición de Coustelier: Sin autor
1777 Cuentos Editor desconocido: Sin autor
1781 Cuentos Edición de Lamy: Charles Perrault
1785‐1789 Cuentos El Cabinet de fées los atribuye a Charles
Perrault
Cuadro 2. Publicación de los Cuentos (Histoires ou contes du temps passé)
Autor
Opinión respecto a la atribución de los Cuentos en prosa Año
Obra
Villiers Villiers dice que se atribuyen al hijo de un célebre académico 1703 Entretiens sur les contes de fées
Editores Se le atribuyen a Charles Perrault Siglos
XVIII al
XX
Fromm No menciona el problema de la atribución 1951 The forgotten language. An
introduction to the understanding of
dreams, fairy tales and myths
Delarue Cita a Pierre Perrault como autor de los Cuentos, pero también se refiere a “Perrault”, como
si fuera Charles Perrault.
1957 Le conte populaire français. Catalogue
raisonné des versions de France et des
pays de langue française d’outre mer
Soriano Trata de probar la paternidad de Perrault basado en el psicoanálisis 1968 Contes de Perrault, culture savante et
traditions populaires
Bettelheim Menciona que Charles Perrault hizo creer que los Cuentos los había escrito su hijo de 10
años [sic]
1977 Psicoanálisis de los cuentos de hadas
Collinet Menciona el problema de la atribución, pero pone sólo “Perrault” en el título 1981 Estudio crítico de los Cuentos en la
edición de Gallimard.
Robert Menciona el problema de la atribución pero supone es un recurso literario de Charles
Perrault.
1982 Le conte de fées littéraire en France, de
la fin du XVIIe à la fin
du XVIIIe siècle
Zipes No menciona el problema de la atribución. 1983 Fairy Tales and the Art of Subversion
Darnton No menciona el problema de la atribución 1984 La gran matanza de gatos y otros
episodios en la historia de la
cultura francesa
Vellay‐Valentin No menciona el problema de la atribución 1992 L’histoire des contes
Pisanty No menciona el problema de la atribución 1993 Cómo se lee un cuento popular
Orenstein Los atribuye a Charles Perrault, pero menciona Pierre D’armencourt [sic] 2002 Little Red Riding Hood Uncloaked
Almodovar “Esta versión se basa en textos recogidos de la tradición oral francesa” 2004 La verdadera historia de Caperucita
Beckett Los atribuye a Charles Perrault, pero menciona a Pierre Perrault d’Armancour [sic] 2007 Red Riding Hood for all ages
Cuadro 3. Perrault frente a la crítica

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